Actualit�s : L�AMC : une entreprise citoyenne performante qui fabrique des produits de qualit�

Dans votre �dition du 14 janvier 2012, vous avez publi� un article diffamatoire � l�endroit d�une entreprise publique respectable, citoyenne et performante sans prendre la mesure �l�mentaire, � savoir nous contacter pour conna�tre au pr�alable notre position et vous permettre de publier votre article en bonne connaissance de la r�alit�.
Ainsi, en vertu des droits �l�mentaires qui nous sont l�galement reconnus, nous avons l�honneur de vous demander de publier notre mise au point aux m�mes surfaces que celles qui ont �t� utilis�es pour la diffamer.
L�auteur de la diffamation
En dehors du journaliste, il y a lieu de noter que les diff�rents �crits diffamatoires diffus�s tous azimuts sont l��uvre d�une seule personne dont le nom est cit� au sein de l�article. Il est faux de tenter d�impliquer de fa�on globale d�autres cadres, ces derniers connaissant parfaitement leur entreprise ont �uvr� et �uvrent sans exclusive � son essor. Quant � l�agent cit� nomm�ment comme �tant � l�origine de cette calomnieuse d�nonciation, il a occup� les responsabilit�s suivantes :
- Secr�taire g�n�ral du syndicat pendant plusieurs ann�es jusqu�� ce que l�UGTA/UT d�cide de geler ses activit�s puis de l�exclure de ses rangs pour divers motifs qui leur sont propres.
- Pr�sident du comit� de participation de l�entreprise et il a �t� d�sign� par ses pairs en tant qu�administrateur de droit de 2006 jusqu�� la mi-2009. Son mandat a pris fin sur d�cision autonome du comit� de participation notifi�e � la direction g�n�rale de l�entreprise qui en a pris acte. Comme cela est stipul� par la loi portant code de commerce, en dehors des actionnaires, le conseil d�administration est l�autorit� supr�me de l�entreprise � laquelle rend compte la direction g�n�rale. Le conseil d�administration est investi des pouvoirs les plus �tendus en dehors de ceux d�volus aux assembl�es g�n�rales des actionnaires. En tant qu�administrateur ayant si�g� de fa�on r�guli�re pendant plusieurs ann�es � toutes les r�unions du conseil d�administration, l�int�ress� n�a jamais fait part d�une quelconque r�serve ou soulev� un quelconque probl�me. Il a re�u tous les rapports d�activit�, bilans, rapports d�audit et de gestion au m�me titre puisqu�il cite ce qu�il qualifie d�importation frauduleuse et de fabrication de produits dangereux, la r�gle �l�mentaire voudrait qu�il en informe formellement les membres du conseil d�administration. D�ailleurs, le code de commerce (article 715-bis 29 alin�a 2) l�y oblige faute de quoi il est consid�r� comme complice ; pour �tre coh�rent et cons�quent, il aurait fallu qu�il en fasse part et inscrire ses r�serves au niveau des proc�s-verbaux du conseil d�administration. Bien au contraire, l'int�ress� a approuv� et sign�, ce qui est logique et sain, tous les proc�s-verbaux y compris le rapport de gestion de l�exercice 2008 et l�arr�t� des comptes. Tous les proc�s-verbaux, dont il a copie comme les autres administrateurs, sont disponibles en tant que preuve de ce qu�on avance pour ceux qui en doutent. Les sanctions disciplinaires qui lui ont �t� inflig�es sont exclusivement li�es � des manquements divers qui n�ont aucun lien avec les �crits diffamatoires. Certaines ont �t� confirm�es par la justice.
Importation frauduleuse

Quel int�r�t a une entreprise de l�Etat de frauder une institution de l�Etat ? Des �crits ont �t� adress�s � ce sujet aux services des douanes qui ont, apr�s moult v�rifications, conclu � la l�galit�, conformit� et sinc�rit� des importations effectu�es par l�AMC. Le seul et unique cas qu�on a tent� d�utiliser pour jeter l�opprobe sur l�entreprise est celui cit� dans notre article. Il porte sur un composant envoy� sans paiement et dont le montant des droits de douane (non redevables dans ce cas) s��l�verait � hauteur de 1000,00 DA. Peut-on s�rieusement accuser une entreprise publique d�avoir proc�d� � une man�uvre frauduleuse pour ne pas payer mille (1000) DA alors qu�elle paye plus de trois cent millions de dinars (300,00 MDA) par an d�imp�ts et taxes.
Qualit� des compteurs

Quoi qu�on puisse dire ou �crire, l�AMC est connue pour la qualit� des produits qu�elle fabrique et des services qu�elle assure. C�est cette qualit� qui a fait de l�AMC un leader malgr� la concurrence multiforme � laquelle elle a fait face. Notre qualit� n�est pas un slogan ou une d�claration publicitaire faite par l�entreprise. Elle est bas�e sur des documents disponibles au sein de l�entreprise. En effet, nos compteurs sont homologu�s par :
- Le laboratoire de renomm�e international (NMI)
- L�Office national de la m�trologie l�gale (ONML)
- Le centre de recherche et de d�veloppement de l��lectricit� et du gaz (CREDEG) Par ailleurs, l�AMC a �t� en janvier 2001 la 11e entreprise au niveau national dont le syst�me de management de la qualit� a �t� certifi� par l�organisme Afaq/Afnor, conforme � la norme ISO. Tous les compteurs sont fabriqu�s selon un processus strict avec un contr�le de qualit� rigoureux. Le taux de retour des compteurs dans le cadre du service apr�s-vente ne d�passe pas 0,02%. L�accusation gratuite et sans fondement affirmant que nos compteurs prennent feu et sont � l�origine des diff�rents incidents signal�s par la presse, qui n�a jamais cit� l�AMC, n�est bas�e sur aucune justification. En effet, cela ne peut �tre le cas puisque la mati�re plastique du compteur (PC - ABS) est un composite qui ne peut �tre ni la source d�un feu ni celle de sa propagation. Les certificats en notre possession confirment nos dires. L�AMC, sans d�tenir le monopole, a livr� plus de 8 millions de compteurs aux filiales du groupe Sonelgaz qui proc�dent � un contr�le tr�s pr�cis. D�ailleurs, apr�s leur saisine par l�AMC, elles ont toutes affirm� la qualit� et la conformit� des compteurs et pr�cis� que ces derniers n�ont en aucun cas �t� � l�origine des incidents qu�elles ont connus. Les �crits sont �galement disponibles au niveau de l�entreprise. De ce qui pr�c�de, on ne peut mieux constater et affirmer que tous les organismes externes � l�entreprise sont unanimes pour certifier la qualit� et la fiabilit� de ses produits. De m�me, toutes les instances qui ont �t� rendues destinataires des �crits diffamatoires dudit agent ont conclut apr�s contr�le � l�absence de fondement sur ce dont on tente d�accabler l�entreprise et sur la justesse de sa position.
Aspects financiers

De pseudo-expert technique on se d�couvre les vertus de celles d�un expert financier alors qu�on a adopt� en tant qu�administrateur tous les rapports et bilans financiers. Qu�� cela ne tienne. Ce n�est pas trahir un secret que d�affirmer que l�AMC est une entreprise �conomiquement performante qui s�est impos�e par la qualit� de ses produits et la comp�titivit� de ses prix. Les compteurs repr�sentant 65% � 70% de son chiffre d�affaires aussi, si elle les vendait � perte comme on l�insinue de fa�on sournoise, il y a longtemps que l�entreprise aurait d�pos� son bilan et d�clar� faillite. Les comptes de l�entreprise sont publi�s chaque ann�e au niveau du BOAL. N�en d�plaise � nos d�tracteurs, l�entreprise r�alise chaque ann�e des b�n�fices avec une rentabilit� se situant � hauteur de 20% du chiffre d�affaires. Depuis 1999 � ce jour, l�AMC a r�alis� des b�n�fices nets cumul�s �valu�s � cinq (05) milliards de dinars (500 milliards de centimes) d�une part et rembours� sa dette pour reconstituer sa tr�sorerie qui s��l�ve aujourd�hui � plus de 5,2 milliards de dinars (520 milliards de centimes), d�autre part. Aussi, est-il cr�dible de r�aliser de telles performances si on vend � perte ses principaux produits ? C�est cette cr�dibilit� et cette performance qui ont fait que l�entreprise a r�alis� un partenariat r�ussi et est approch�e par des soci�t�s de renomm�e mondiale pour des partenariats industriels.
Conclusion
L�AMC ne porte pas atteinte aux citoyens et � leurs biens comme l�article tente de l�accabler. C�est une entreprise citoyenne qui �uvre pour le bien de toutes les parties int�ress�es. Elle fabrique des produits de qualit� dont certains ont pour vocation de prot�ger la s�curit� des citoyens (disjoncteurs, contacteurs, relais). Elle contribue � l�effort national de cr�ation de l�emploi. En 2011, l�AMC a cr�� 350 emplois permanents. Elle en cr�era chaque ann�e gr�ce � la mise en �uvre d�un ambitieux programme de d�veloppement industriel soutenu par le Groupe. Elle ne d�truit pas les logements, elle contribue � leur �dification. En 2010/2011, l�entreprise a soutenu plus de 250 travailleurs qui ont eu acc�s � des logements. Nous aurions tant souhait� ne pas r�agir mais l�image de l�entreprise et � travers elle celle de ses travailleurs et actionnaires nous impose d�apporter les �clairages n�cessaires. Alors que les pouvoirs publics s�arr�tent � soutenir et favoriser la production nationale, certains ne trouvent pas mieux que de d�nigrer et tenter par le mensonge et la d�lation de la d�valoriser. A moins qu�ils �uvrent pour de tierces parties et ob�issent � des basses motivations. Ils trouveront sur leur chemin notre justice.
Le pr�sident-directeur g�n�ral, N. Hamouda

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