Le groupe Sovac vient, finalement, de réceptionner les 1 490 kits qui
ont séjourné pendant deux années dans le port d’Oran. Dans un communiqué
qui nous a été transmis, l’ancien représentant de Volkswagen informe
l’opinion publique qu’il vient de procéder au dédouanement de ces kits
et rappelle que ceux-ci faisaient l’objet de « mesures conservatrices de
la part de la direction des douanes d’Oran en 2019, qui avait remis en
cause la conformité des kits».
Il est également précisé dans ce document qu’« après plusieurs expertises, dont la dernière a été réalisée par l’entreprise publique Vérital, désignée par ordonnance judiciaire, cette dernière a conclu à la conformité des kits et de ce fait, le dédouanement a été effectué, avec les mêmes conditions appliquées depuis 2017, à savoir l’application de l’exonération douanière ». Néanmoins, le dénouement semble loin d’être garanti. En effet, il est à souligner que la relation de partenariat entre le groupe allemand et Sovac a été définitivement rompue en juin 2020 et que toute reprise des activités d’assemblage ne saurait être effective sans le consentement de Volkswagen qui doit y apporter sa garantie.
Aussi, les représentants du groupe algérien soulignent que « cette première étape dépassée, Sovac doit par ailleurs solliciter le constructeur Volkswagen en vue de reconduire la licence de montage ou délivrer une licence provisoire à l’effet de permettre à Sovac de procéder au montage des kits ». Une exigence sans laquelle le montage de ces véhicules risque de connaître de nouveaux retards.
Dans ce cadre, Sovac note que « cette licence demeure une condition préalable pour redémarrer la production au niveau de l’usine Sovac Production à Relizane, sachant que les kits ont été importés alors que la licence était en vigueur. Une reprise de production permettrait un retour des employés à la vie active, après deux années de chômage technique, et au marché de s’approvisionner, d’un nombre même limité, en véhicules ».
B. B.
Il est également précisé dans ce document qu’« après plusieurs expertises, dont la dernière a été réalisée par l’entreprise publique Vérital, désignée par ordonnance judiciaire, cette dernière a conclu à la conformité des kits et de ce fait, le dédouanement a été effectué, avec les mêmes conditions appliquées depuis 2017, à savoir l’application de l’exonération douanière ». Néanmoins, le dénouement semble loin d’être garanti. En effet, il est à souligner que la relation de partenariat entre le groupe allemand et Sovac a été définitivement rompue en juin 2020 et que toute reprise des activités d’assemblage ne saurait être effective sans le consentement de Volkswagen qui doit y apporter sa garantie.
Aussi, les représentants du groupe algérien soulignent que « cette première étape dépassée, Sovac doit par ailleurs solliciter le constructeur Volkswagen en vue de reconduire la licence de montage ou délivrer une licence provisoire à l’effet de permettre à Sovac de procéder au montage des kits ». Une exigence sans laquelle le montage de ces véhicules risque de connaître de nouveaux retards.
Dans ce cadre, Sovac note que « cette licence demeure une condition préalable pour redémarrer la production au niveau de l’usine Sovac Production à Relizane, sachant que les kits ont été importés alors que la licence était en vigueur. Une reprise de production permettrait un retour des employés à la vie active, après deux années de chômage technique, et au marché de s’approvisionner, d’un nombre même limité, en véhicules ».
B. B.
