Le Forum des journalistes libres (FJL) a dénoncé,
hier, les intimidations et menaces à l’égard des médias qui « prennent
désormais des formes de plus en plus affirmées qui augurent de
lendemains sombres pour la liberté d’expression en général et la liberté
de la presse en particulier».
Karim Aimeur - Alger Le Soir) - Dans un communiqué, le FJL a affirmé que le contrôle sur les médias publics ne s’encombre plus de formes et s’affiche sans nuances comme un mode de gestion immuable mettant au service exclusif du discours du pouvoir, télévisions, radios et publications de la presse écrite.
Le forum a condamné les représailles contre les professionnels des médias publics qui se sont mobilisés pour changer les choses. Il a dénoncé également le musellement de la presse électronique dont l’accès à plusieurs sites a été bloqué dans le pays.
Regrettant le monopole sur le marché publicitaire, le forum constate que la presse écrite se retrouve à lutter pour sa survie et à résister au chantage qui lui est imposé. Les intimidations des journalistes et des médias qui critiquent le pouvoir sont également dénoncées. Des collectifs sont brutalement livrés à la précarité, comme l’illustre le cas des travailleurs du Groupe Media temps nouveau qui sont menacés dans leurs emplois, poursuit le FJL qui «s’élève contre ce qui s’apparente à une entreprise déterminée à museler l’expression libre et à faire disparaître les quelques supports médiatiques qui continuent à assurer, aujourd’hui au prix de leur viabilité économique, leur vocation d’informer objectivement et d’assumer leur responsabilité d’éclairer l’opinion, notamment en ces moments décisifs où le pays négocie le virage délicat du changement».
Karim A.
Karim Aimeur - Alger Le Soir) - Dans un communiqué, le FJL a affirmé que le contrôle sur les médias publics ne s’encombre plus de formes et s’affiche sans nuances comme un mode de gestion immuable mettant au service exclusif du discours du pouvoir, télévisions, radios et publications de la presse écrite.
Le forum a condamné les représailles contre les professionnels des médias publics qui se sont mobilisés pour changer les choses. Il a dénoncé également le musellement de la presse électronique dont l’accès à plusieurs sites a été bloqué dans le pays.
Regrettant le monopole sur le marché publicitaire, le forum constate que la presse écrite se retrouve à lutter pour sa survie et à résister au chantage qui lui est imposé. Les intimidations des journalistes et des médias qui critiquent le pouvoir sont également dénoncées. Des collectifs sont brutalement livrés à la précarité, comme l’illustre le cas des travailleurs du Groupe Media temps nouveau qui sont menacés dans leurs emplois, poursuit le FJL qui «s’élève contre ce qui s’apparente à une entreprise déterminée à museler l’expression libre et à faire disparaître les quelques supports médiatiques qui continuent à assurer, aujourd’hui au prix de leur viabilité économique, leur vocation d’informer objectivement et d’assumer leur responsabilité d’éclairer l’opinion, notamment en ces moments décisifs où le pays négocie le virage délicat du changement».
Karim A.