A quelque chose malheur est bon, dit un adage
populaire bien établi. L’épidémie de coronavirus qui est en train de
prendre pied dans notre pays, avec près d’une centaine de cas avérés, a
permis de vérifier, une fois de plus et certainement pas de trop, une
autre facette de notre société, la solidarité.
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Deux autres facettes du peuple algérien que le mouvement populaire du 22 février 2019 a permis d’étaler on ne peut mieux, ébahissant aux quatre coins du monde, la solidarité et le civisme.
Deux valeurs que le peuple, via notamment sa jeunesse, est en train de renouveler et de manière éclatante à l’occasion de cette épidémie de coronavirus qui écume le pays depuis quelques semaines.
En plus d’avoir appelé à surseoir aux marches hebdomadaires de contestation citoyenne, ils sont nombreux les jeunes à s’organiser ici et là à travers nombre de wilayas du pays pour venir en complément des efforts que fournissent les pouvoirs publics à l’effet de faire face à cette terrible pandémie qui menace l’humanité entière.
C’est ainsi que des jeunes se sont déjà mis à s’organiser en groupes qui pour désinfecter les lieux publics susceptibles pour limiter au maximum toute infection à ce virus, qui pour confectionner des masques de protection avec du tissus mis gracieusement à leur disposition par des marchands, pour les distribuer gratuitement aux citoyens qui ne peuvent s’en procurer auprès des officines, dépassées par la très forte demande en la matière. Aussi, des commerçants n’hésitent pas à signifier leur courroux face à des camarades qui mettent à profit cette situation exceptionnelle pour enflammer les prix, notamment ceux des produits alimentaires. Ils s’organisent de plus en plus pour participer à l’effort national de stabiliser les prix des produits de large consommation, objet d’une surenchère par bien de marchés de gros.
Dans cet élan de solidarité et de civisme, il ne faut surtout pas passer sous silence ces étudiants qui ne cessent de sillonner les ruelles de nombre de nos villes pour les citoyens quant à la nécessité de se soumettre aux consignes des médecins et spécialistes de la santé à l’effet de faire face à cette épidémie.
M. K.
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Deux autres facettes du peuple algérien que le mouvement populaire du 22 février 2019 a permis d’étaler on ne peut mieux, ébahissant aux quatre coins du monde, la solidarité et le civisme.
Deux valeurs que le peuple, via notamment sa jeunesse, est en train de renouveler et de manière éclatante à l’occasion de cette épidémie de coronavirus qui écume le pays depuis quelques semaines.
En plus d’avoir appelé à surseoir aux marches hebdomadaires de contestation citoyenne, ils sont nombreux les jeunes à s’organiser ici et là à travers nombre de wilayas du pays pour venir en complément des efforts que fournissent les pouvoirs publics à l’effet de faire face à cette terrible pandémie qui menace l’humanité entière.
C’est ainsi que des jeunes se sont déjà mis à s’organiser en groupes qui pour désinfecter les lieux publics susceptibles pour limiter au maximum toute infection à ce virus, qui pour confectionner des masques de protection avec du tissus mis gracieusement à leur disposition par des marchands, pour les distribuer gratuitement aux citoyens qui ne peuvent s’en procurer auprès des officines, dépassées par la très forte demande en la matière. Aussi, des commerçants n’hésitent pas à signifier leur courroux face à des camarades qui mettent à profit cette situation exceptionnelle pour enflammer les prix, notamment ceux des produits alimentaires. Ils s’organisent de plus en plus pour participer à l’effort national de stabiliser les prix des produits de large consommation, objet d’une surenchère par bien de marchés de gros.
Dans cet élan de solidarité et de civisme, il ne faut surtout pas passer sous silence ces étudiants qui ne cessent de sillonner les ruelles de nombre de nos villes pour les citoyens quant à la nécessité de se soumettre aux consignes des médecins et spécialistes de la santé à l’effet de faire face à cette épidémie.
M. K.