Les universitaires algériens issus des différents
établissements universitaires (universités, écoles, instituts et centres
universitaires) du territoire national et engagés dans le Hirak se sont
réunis, samedi dernier à Alger. Après un long travail d’organisation au
niveau des universités du pays, ils ont procédé à des échanges
concernant leurs institutions et la situation dans le pays.
A l’issue d’une réflexion collective, menée à travers plusieurs réunions et assemblées, ils ont décidé de s’organiser en une «coordination nationale des universitaires du Hirak pour le changement» en se donnant pour missions principales de libérer l’université algérienne des entraves qui l’empêchent de remplir son rôle et ses missions comme centre de savoir et au service du développement de la société, de mobiliser et sensibiliser l’ensemble de la communauté universitaire afin de jouer son rôle intellectuel, et d’accompagnement des revendications et des aspirations de la population, d’œuvrer avec l’ensemble des forces vives afin que le peuple algérien élabore sa Constitution.
Un texte qui, estiment-ils, «ne saurait être une simple affaire d’experts», appelant, par ailleurs, les éléments de la société civile (syndicats, collectifs, individualités, etc.) à s’unir face à la répression et aux manipulations du pouvoir en vue d’étouffer le Hirak».
M. K.
A l’issue d’une réflexion collective, menée à travers plusieurs réunions et assemblées, ils ont décidé de s’organiser en une «coordination nationale des universitaires du Hirak pour le changement» en se donnant pour missions principales de libérer l’université algérienne des entraves qui l’empêchent de remplir son rôle et ses missions comme centre de savoir et au service du développement de la société, de mobiliser et sensibiliser l’ensemble de la communauté universitaire afin de jouer son rôle intellectuel, et d’accompagnement des revendications et des aspirations de la population, d’œuvrer avec l’ensemble des forces vives afin que le peuple algérien élabore sa Constitution.
Un texte qui, estiment-ils, «ne saurait être une simple affaire d’experts», appelant, par ailleurs, les éléments de la société civile (syndicats, collectifs, individualités, etc.) à s’unir face à la répression et aux manipulations du pouvoir en vue d’étouffer le Hirak».
M. K.