Avant de donner le coup de grâce à l’homme déjà mal en point, celui qui
paraissait être le chef de gang des Latinos téléphone à une jeune fille
de sa race. Il est surpris quand elle lui dit qu’elle va bien. Comme il
insiste, elle lui dit que, durant la matinée, on avait effectivement
voulu l’agresser, mais qu’un passant, «un Blanc», l’avait défendue. La
description du «Blanc» correspond à celle de l’homme qu’il tenait en
joue et qui, ainsi, échappe presque par miracle à la mort.
La morale de cette histoire dans le film américain Training Day d’Antoine Fuqua est que faire le bien attire le bien.
K. B.
La morale de cette histoire dans le film américain Training Day d’Antoine Fuqua est que faire le bien attire le bien.
K. B.