Sous prétexte de faire de «l’opposition», certains mènent une campagne de dénigrement systématique contre les organismes publics versés dans l’activité culturelle.
La dissolution des entreprises publiques de production audiovisuelle (Enpa, Caaic...), à la fin des années 1990, a laissé un vide qui n’a, jusqu'à présent, pas été comblé. La privatisation des salles de cinéma a mené finalement à leur fermeture pure et simple. Aujourd’hui pratiquement, seules celles qui sont gérées par l’État fonctionnent encore.
«Les professionnels du secteur» eux- mêmes dressent aujourd’hui un tableau peu reluisant du cinéma et de l’audiovisuel en Algérie.
K. B.
[email protected]