Par Kader Bakou
Il y a bien longtemps, la télévision publique algérienne, à l’époque ENTV, avait diffusé un téléfilm français (nous avons oublié son titre) sur un homme (nous avons oublié son nom) qui, dès le début, s’était opposé à la politique de Napoléon Bonaparte, parce qu’il savait qu’elle allait provoquer des guerres en Europe et dans la monde. Ce téléfilm, visiblement à petit budget (mais bien fait), n’est pas resté dans la postérité, tout comme le brave Français qui s’était opposé au futur «empereur des Français».
Dans l’Histoire humaine, «les grands hommes» sont, la plupart du temps, ceux qui ont gagné beaucoup de guerres, pas ceux qui ont gagné beaucoup de paix.
K. B.
Il y a bien longtemps, la télévision publique algérienne, à l’époque ENTV, avait diffusé un téléfilm français (nous avons oublié son titre) sur un homme (nous avons oublié son nom) qui, dès le début, s’était opposé à la politique de Napoléon Bonaparte, parce qu’il savait qu’elle allait provoquer des guerres en Europe et dans la monde. Ce téléfilm, visiblement à petit budget (mais bien fait), n’est pas resté dans la postérité, tout comme le brave Français qui s’était opposé au futur «empereur des Français».
Dans l’Histoire humaine, «les grands hommes» sont, la plupart du temps, ceux qui ont gagné beaucoup de guerres, pas ceux qui ont gagné beaucoup de paix.
K. B.