Dans les milieux de la musique chaâbie, on dit : «Cheikh bla cheikh, mahou cheikh.» Ainsi, «un maître sans maître» n’est pas considéré comme un (vrai) maître. Quels que soient l’art et la discipline, l’enseignement de maître à élève est certainement le meilleur. Un maître choisit ses disciples et s’en occupe personnellement, au moindre détail. Il leur consacre aussi le temps nécessaire et leur apprend aussi la sagesse et la bonne éducation.
Quelqu’un peut-il devenir un maître en arts martiaux, uniquement en lisant des livres de Bruce Lee ?
K. B.
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