Un deuil de trois jours a débuté vendredi dernier dans la région de
Kemerovo, en Sibérie, au lendemain de la mort de 51 personnes, dont cinq
sauveteurs, lors d'un accident dans une mine de charbon.
Les enquêteurs ont arrêté les responsables de la mine — propriété d'un privé —, les accusant de violations ayant conduit à la catastrophe, l'une des pires de ces dix dernières années dans le secteur minier en Russie, régulièrement endeuillé.
Des proches de victimes étaient en pleurs ce vendredi matin près du site, recouvert de neige et où se trouvent toujours des secouristes. Jeudi, vers 8h30 locales (1h30 GMT), l'alerte avait été donnée après la présence de fumée dans la mine de Listviajnaïa, à Gramoteïno, dans la région minière de Kemerovo.
Selon les autorités locales, 285 personnes se trouvaient alors sous terre. La majorité a été secourue, mais 46 autres sont restées bloquées à plusieurs centaines de mètres de profondeur.
R. I.
Les enquêteurs ont arrêté les responsables de la mine — propriété d'un privé —, les accusant de violations ayant conduit à la catastrophe, l'une des pires de ces dix dernières années dans le secteur minier en Russie, régulièrement endeuillé.
Des proches de victimes étaient en pleurs ce vendredi matin près du site, recouvert de neige et où se trouvent toujours des secouristes. Jeudi, vers 8h30 locales (1h30 GMT), l'alerte avait été donnée après la présence de fumée dans la mine de Listviajnaïa, à Gramoteïno, dans la région minière de Kemerovo.
Selon les autorités locales, 285 personnes se trouvaient alors sous terre. La majorité a été secourue, mais 46 autres sont restées bloquées à plusieurs centaines de mètres de profondeur.
R. I.