France ! Santé. Augmentation spectaculaire des pathologies du trouble du sommeil dans une zone de la capitale, Paris.
Neuilly-Sur-Seine !
Ça produit toujours le même effet sur moi lorsque ce «préalable» est posé, affirmé et réaffirmé. Un sourire. Oh ! Pas un sourire méchant, ni même un brin narquois. Non ! Juste un sourire léger. Un peu désabusé. Voire fatigué aux commissures des lèvres. Le départ de Bedoui ! C’est comme si le limogeage de ce monsieur allait miraculeusement changer la donne. Oui, il a été de nombre d’élections truquées ! Mais, qui ne l’a pas été dans le «si vaste sérail» ? Il a été ministre de l’Intérieur ? M’enfin ! Il a juste été la main qui décrochait le téléphone pour dire «Ah ! Bon ! D’accord ! 120 kilos de bulletins Bouteflika à Tissemsilt ? Ok ! Ça sera fait avant 20 heures ! Allô ! Oui ! Y a encore autre chose ? Ah ! 25 grammes de bulletins Hanoune à Salembier et 12, 25 grammes de bulletins Touati à Aïn-Touta ? Ça marche ! Je les commande pour 17 heures, au pointage du taux de participation». Voilà le rôle ! Voilà «l’impactant» que l’on veut nous faire passer pour le verrou à sauter absolument si nous souhaitons une présidentielle propre. Risible ! Gadget ! Haya Sidi ! Demain matin, Bedoui saute ! Il est viré ! Et un autre chef de l’exécutif est calé sur le siège. Installé de fait, sans explication. Ça va vous rassurer ? Vous prendrez cela pour une garantie suffisante ? Les élections seront propres, transparentes et fleureront fort l’eau de javel ? Je n’aime pas les os ! Lorsque je mange un plat, il m’insupporte de devoir composer avec des débris d’os dans une sauce ou un couscous. C’est pénible. C’est épuisant pour les nerfs à vif de peur de me casser une dent sur ces os-là. Et ça te fait oublier la saveur essentielle, celle du plat. Je n’aime pas les os, déjà lorsqu’ils me sont servis dans mon assiette. Que dire alors des os qui me sont jetés par terre et sur lesquels «on» voudrait me voir me jeter comme un affamé ! Non ! Je n’aime décidément pas les os. Aux os, je préfère, et de loin, mon thé que je fume pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue.
H. L.
