Si vous vous rendez à l’hôpital 240 lits de Aïn-Séfra, vous aurez
l’impression que vous errez dans des pavillons d’un CHU, vu ses
différentes infrastructures et ses services. Mais s’il vous arrive de
solliciter des consultations nécessitant le recours à un scanner, on
vous évacue ailleurs, vers Mécheria ou Tlemcen.
L’amère réalité c’est que cet EPH de Aïn-Séfra, réalisé dans un plan d’urgence vers les années 1970, pour être un centre hospitalier régional, demeure le parent pauvre du reste des hôpitaux.
Il accuse un manque en médecins spécialistes, obligeant les patients de la région de se déplacer vers les hôpitaux du Nord, même pour subir des examens au scanner.
B. Henine
L’amère réalité c’est que cet EPH de Aïn-Séfra, réalisé dans un plan d’urgence vers les années 1970, pour être un centre hospitalier régional, demeure le parent pauvre du reste des hôpitaux.
Il accuse un manque en médecins spécialistes, obligeant les patients de la région de se déplacer vers les hôpitaux du Nord, même pour subir des examens au scanner.
B. Henine