Désormais, le développement de la
culture des lentilles dans la région du Sud-ouest est rendu possible et
peut engranger une bonne production de cette espèce de la famille des
légumineuses.
C’est un fellah de la région de Djeniène-Bourezg, qui a tenté de diversifier les cultures, en consacrant une petite parcelle à la culture des lentilles, où la production était appréciable, voire très bonne.
De ce fait, la Direction des services agricoles de la wilaya devrait s’atteler à cette culture en accompagnant les agriculteurs à investir dans la céréaliculture.
Un créneau nécessitant l’aide conséquente de l’État, à travers l’organisation des campagnes de sensibilisation, de vulgarisation et de formation, au soutien du prix de la semence, voire un encouragement permanent pour les céréaliculteurs pour la production nationale.
Pour rappel, les prix des légumes secs ont flambé ces derniers jours, les lentilles et les haricots secs sont proposés entre 260 et 270 DA/kg, alors que les pois chiches ont franchi la barre des 300 DA.
Jadis, considérés comme « le plat du pauvre », les légumes secs sont devenus aujourd’hui, des nourritures coûteuses et ne sont plus à la portée des petites bourses.
B. H.
C’est un fellah de la région de Djeniène-Bourezg, qui a tenté de diversifier les cultures, en consacrant une petite parcelle à la culture des lentilles, où la production était appréciable, voire très bonne.
De ce fait, la Direction des services agricoles de la wilaya devrait s’atteler à cette culture en accompagnant les agriculteurs à investir dans la céréaliculture.
Un créneau nécessitant l’aide conséquente de l’État, à travers l’organisation des campagnes de sensibilisation, de vulgarisation et de formation, au soutien du prix de la semence, voire un encouragement permanent pour les céréaliculteurs pour la production nationale.
Pour rappel, les prix des légumes secs ont flambé ces derniers jours, les lentilles et les haricots secs sont proposés entre 260 et 270 DA/kg, alors que les pois chiches ont franchi la barre des 300 DA.
Jadis, considérés comme « le plat du pauvre », les légumes secs sont devenus aujourd’hui, des nourritures coûteuses et ne sont plus à la portée des petites bourses.
B. H.