Un jeune homme d’une vingtaine d’années, répondant aux initiales
B.B., originaire de la ville de Aïn-Sefra, a succombé à un traumatisme
crânien, provoqué par une plongée contre un rocher, alors qu’il se
baignait dans une retenue d’eau, sise à l’oasis de Tiout.
La victime a été repêchée du fond de l’oued par les éléments de la Protection civile dans un état comateux dans la soirée de vendredi dernier, et a été aussitôt évacuée de l’EPH de Aïn-Sefra au CHU de Tlemcen, où elle a trouvé la mort 48 heures après.
Notons que l’oasis de Tiout, distante de 18 km de Aïn-Sefra, est devenue une cité attractive pour les familles et les jeunes qui la fréquentent durant ces périodes de grandes chaleurs.
Faut-il rappeler pour la énième fois, l’arrêté du wali interdisant les baignades dans les barrages et les marécages, et les campagnes de prévention des éléments de la Protection civile. Mais force est de constater que chaque été, l’on enregistre des noyades, soit dans les oueds, les marécages ou encore dans les bassins d’irrigation.
Une enquête a été ouverte par la brigade de la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances exactes de ce drame.
B. H.
La victime a été repêchée du fond de l’oued par les éléments de la Protection civile dans un état comateux dans la soirée de vendredi dernier, et a été aussitôt évacuée de l’EPH de Aïn-Sefra au CHU de Tlemcen, où elle a trouvé la mort 48 heures après.
Notons que l’oasis de Tiout, distante de 18 km de Aïn-Sefra, est devenue une cité attractive pour les familles et les jeunes qui la fréquentent durant ces périodes de grandes chaleurs.
Faut-il rappeler pour la énième fois, l’arrêté du wali interdisant les baignades dans les barrages et les marécages, et les campagnes de prévention des éléments de la Protection civile. Mais force est de constater que chaque été, l’on enregistre des noyades, soit dans les oueds, les marécages ou encore dans les bassins d’irrigation.
Une enquête a été ouverte par la brigade de la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances exactes de ce drame.
B. H.